lunes, 22 de noviembre de 2010

Des endroits devastés

Quand on a terminé sa toilette du matin, il faut faire soigneusement la toilette de la planète
[Saint-Exupéry - El Principito]


Froid, vent, des larmes partout. Des feux défunts, des coeurs arrêtés.

Ça doit être comme l'un doit se sentir á l'enfer. Ceci, ce qui m'entoure, c'est l'enfer. La cité des lumières, ça est le vrai enfer. Pas de diable, pas de feux en crépitant, pas non plus d'âmes, ni de chaleur.

C'est l'habitat inhabité. Ça y est la nature dénaturalisée. Moi, je suis la personne in-âmé. À quoi servent-ils des bons sentiments, à quoi bon? Ils n'ont rien de bonheur eux-mêmes. Nous, nous n'avons rien de chaleur á nous. On n'en a rien. On est froid. L'enfer est froid. Et ses lumières ne sont plus feux, mais des rayons UVA qui nous brûlent, qui nous font craquer, pleurer et plier comme les papiers.

L'enfer, il se cache après un beauté inégalable; peut-être il l'avait auparavant. Mais non plus. Et moi, je ne suis plus, non plus.




2 comentarios:

  1. ¿Vamos a ponernos ahora internacionales o qué?
    Me he dado cuenta de que estoy más flojo de lo que yo pensaba en francés...x)

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  2. xDD es que tenía este texto escrito desde París, y lo he encontrado, y me dio por ponerlo jajaja

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